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Des lieux

Les Ateliers de traverse

déclinent leurs activités

dans plusieurs régions

Agenda

 Actualités des pôles régionaux

 

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Ateliers de traverse 14

" Preuve et Epreuves du sentiment en littérature" 

décembre 2013

à Caen

 

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Ateliers de traverse 30

 

Le rêve de...

  le 19 février 2014

à Nîmes

 

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Ateliers de traverse 76

Ateliers du jeudi 

saison 2013 - 2014

à St Germain des Essourts

 

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Ateliers de traverse Lilas - Paris

Fais ton cinéma!

saison 2013 - 2014

à Paris

 
20 août 2014 3 20 /08 /août /2014 19:58

58600 iodes

Dans les algues brunes

De ta bouche Rouge 

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20 août 2014 3 20 /08 /août /2014 19:42

Soleil d’été

L’éternité

Nous déborde

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 09:37

J'aime le travail : il me fascine. Je peux rester des heures à le regarder.

 

Jérôme K  Jerôme

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19 juillet 2014 6 19 /07 /juillet /2014 18:30

« L’homme se trouve devant l’irrationnel. Il sent en lui son désir de bonheur et de raison. L’absurde naît de cette confrontation entre l’appel humain et le silence déraisonnable du monde »

Camus, Le mythe de Sisyphe.

“Devenir miroir, c’est se réduire à n’être que surface réfléchissante: la conscience muée en miroir éprouve la réflexion sur le mode passif. Elle ne peut que subir, pour en renvoyer le reflet, les formes et les créatures qui se sont placées en regard.”

Baudelaire

 

Under the skin

Etrangère au monde tu marches comme un automate dans un monde improbable qui aurait la texture des cauchemars. Ta silhouette glisse entre les hommes, happe la réalité sordide de nuits sans rêves. Pourtant, le poème est érotique. Le corps, magnétique. Et ils coulent et s’enfoncent dans le sol sous ton regard. Il n’y a pas de petite mort. Il faut chercher l’ultime jouissance.

Dans ce labyrinthe de miroirs tu captes la lumière qui s’éteint ; feint, joue, simule une humanité perdue. Etrangère aux autres. Etrangère à ton propre corps qui est là pour tous et pour personne, même pas toi. En exil. Le sourire d’une femme dans un supermarché, un regard inquiet, l’angoisse d’un enfant ; tu n’as pas les codes. Tout est crypté. Pourtant, ne seraient-ils pas plus robots que toi ?

Quel(s) visage(s) sous la peau de la femme ? Quel visage de souffrance pour advenir à toi même ? Tout ce qui s’élève descend et tout ce qui descend s’élève, tout ce qui finit recommence. Marchent les hommes vers toi dans une maison abandonnée. Bites levées avant de revenir à l’état fœtal. Tout est liquide. Visqueux. Poreux.

Nulle part, l’émotion. La vie s’impose à travers une glace sans tain, et nous voilà vidés de nous mêmes. La familiarité du monde s’éloigne, le sentiment d’étrangeté filtre de toute part. Ne reste que la captation de ton corps, les courbes, les rondeurs, la musique lancinante, le regard final, enfin partagé.  Il faudra te suivre jusqu’au bout. Mais sous la chair, le métal. Mais en miroir, sous le métal, une femme qui pleure. Mais en miroir, l’Autre. Et tous les autres.

 

 

 

 

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15 juillet 2014 2 15 /07 /juillet /2014 19:49

Feu d’artifices en plein jour

 

Eclipses de blancheur

Est-ce que la nuit nous métamorphose ?

Elle jette au hasard ses désastres

Il va falloir éviter la chute

Parce que nous ne savons rien de l’Autre

Parce que minuit est loin

 

Douleur chromatique

Est-ce que le blanc supporte moins que le rouge l’accélération du temps ?

Elle aime, à l’aube, le froid de la mer sur sa peau

L’eau argentée

Parce que les soupirs meurent

Parce que la lumière pâle du matin

Il va falloir décoller vers la nudité du trait

Et donc du geste

 

Réponse névralgique

Faut-il traverser les ombres afin d’être soi ?

Elle s’en fout elle cherche

Elle explose en d’infinis miroirs

Parce que son visage à l’ombre des totems

Parce que le noir rugueux soulage comme la lumière

 

(à propos de Black Coal)

 

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18 mai 2014 7 18 /05 /mai /2014 19:05

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8 mai 2014 4 08 /05 /mai /2014 18:01

Et si je n’étais pas un corps vide ?

Un éternel recommencement, ma ligne de temps rejoint tes mains ouvertes sur l’infini j’avais oublié NOUS

Et si l’impensable était la beauté ?

Je doute à la commissure de tes lèvres Dis peut-on se lever ?

8 + 9 = 10

Je porte dans ma main droite le commencement de notre ère je lève mon épée brandis la couronne tout est organique la rêverie s’étale tu es l’un et l’autre

Sortir du vide

Parce que tu es sacré

Se répandre vers la lumière

Dis-moi comment je ferai sans toi ?

Parce qu’on est de  ceux qui guérissent

Tu nous entends ?

Si tu nous entends il faut que tu reviennes on voudrait tout comprendre IL FAUT qu’on se retrouve sortir du blizzard bizarre ne pas ralentir même si A QUOI BON ?? Même si l’ironie même si les yeux bandés

Je craque les épiphanies

Jour et Nuit

Jour et Nuit

Les mots reviennent tu les attrapes ? Quelles vapeurs quelles convictions ? Eux qui écrivent plus vite que la pensée en attendant MOI

Jour et Nuit

Soleil blanc d’un ange qui éclate

D’un amant qu’on plaque je ne me console pas claque la parole comme rempart transie en nage permanence impermanence de chaque battement de coeur

En flux tendu

Jette les dés

 

(D’après FAUVE)

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2 mai 2014 5 02 /05 /mai /2014 20:05

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1 janvier 2014 3 01 /01 /janvier /2014 19:38

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24 octobre 2013 4 24 /10 /octobre /2013 15:56

 

One + One

Notre œil n’existait pas avant

Au milieu de la nuit, l’amertume ou le regret insupportable impardonnable

Nous cherchons en vain ce que notre œil a trouvé le désir d’un rêve d’écume

Des odeurs de sauge et de thym d’où le désir n’est jamais parti

Nous aurions voulu être

Le vent le vide ou n’importe quoi d’autre

Quelque chose

Notre œil existait pourtant

Sous notre nez, et si loin pourtant

Retrouver l’innocence qu’un œil crevé voit encore un fantôme à nos côtés

Courir à petit pas rencontrer le futur pour trouver le présent

Parce que

Ton corps comme éternel désir

Ce sursaut au bas des reins juste à la pensée de toi

Les odeurs recommencées de ta peau

Parce que

Toi en retour du passé

Pour ne pas oublier

Il faudra donc les parcourir ces 286 kilomètres de lignes de Khöl

Sais-tu qu’ici on range tout toxique dans un sac en plastique noir ??

Tu n’es pas mon rêve

Pourtant

Le vertige de tes mains couvre tout

Pourtant

Je vise

Le bleu clair de ta bouche en ligne de khöl

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